Vendredi 7 avril 5 07 /04 /Avr 03:10

Un ver m'a pénétré

mais aucun plaisir n'est né

Je l'aurai préféré soyeux

et puis moins ennuyeux

Il aurait lentement glissé

le long de mes jambes écartées

se serait faufilé grandissant

entre mes lèvres tout luisant

de fins mouvements aurait défié

l'ideuse image qu'on lui connait

pour m'emmener dans le plaisir

tout ça parce qu'il vaut mieux en rire. (ou en jouir)  

Par vernnone - Publié dans : vernnone
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Vendredi 7 avril 5 07 /04 /Avr 00:51

Depuis quelques jours, mon ordi tournait au ralenti. Puis depuis trois jours, le verdict est tombé, un méchant virus a investi les lieux et me pourri la vie. Il s'appelle beagle, c'est un ver qui s'introduit dans le système. On peut se demander pourquoi certains individus s'amuse à inventer des virus pour emmerder le monde. Ce ver là, son but est clair et il est trés utile à des sites payants. Le principe, c'est qu'il investi le système informatique, pèche les adresses IP des victimes et les envois à des sites. Et me voilà bombardée constament de publicité m'envoyant vers des émoticons, des sites pour adultes et autres casino et conneries du genre. Ce qui me met le plus en rogne, c'est que les deux fenetres les plus envahissantes, sont des sites pour acheter des anti virus. Ces fenetres s'ouvrent toutes les 2minutes environ, bloquant mon système pour une vingtaine de secondes à chaque fois. Ainsi la moindre opération me prend un temps fou. C'est un marché absolument parfait, fabriquer des virus pour vendre son anti virus. Je trouve ça absolument dégueulasse. Et puis comme si ça ne suffisait pas de faire galérer les internautes pour gagner du frics, cela pourri le systeme de l'interieur. Aujourd'hui en effaçant un simple fichier, j'ai faillit effacer windows de ma bécane. Mon ordi pète complètement les plombs. J'ai réussi à limiter la progression du ver, mais ne suis pas du tout débarrassé des problèmes qu'il a causé. Voilà comment j'ai perdu deux nuits à bricoler, mes journées étant bien assez rempli en ce moment. J'ai même failli jeter mon ordi par la fenetre tellement j'étais exaspérée par l'ampleur des dégats. Mais puisque je réussi à voir certains de vos blogs et que je suis plutôt patiente de nature, je ne me suis pas résignée à vous perdre. Protégez bien vos ordis messieurs madames, entre les virus, les vers et les troyens, nous sommes en  pleine invasion.

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Dimanche 2 avril 7 02 /04 /Avr 23:46
- Barbara -
Rappelle-toi Barbara 
Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là 
Et tu marchais souriante 
Épanouie ravie ruisselante 
Sous la pluie 
Rappelle-toi Barbara 
Il pleuvait sans cesse sur Brest 
Et je t'ai croisée rue de Siam 
Tu souriais 
Et moi je souriais de même 
Rappelle-toi Barbara 
Toi que je ne connaissais pas 
Toi qui ne me connaissais pas 
Rappelle-toi 
Rappelle-toi quand même jour-là 
N'oublie pas 
Un homme sous un porche s'abritait 
Et il a crié ton nom 
Barbara 
Et tu as couru vers lui sous la pluie 
Ruisselante ravie épanouie 
Et tu t'es jetée dans ses bras 
Rappelle-toi cela Barbara 
Et ne m'en veux pas si je te tutoie 
Je dis tu à tous ceux que j'aime 
Même si je ne les ai vus qu'une seule fois 
Je dis tu à tous ceux qui s'aiment 
Même si je ne les connais pas 
Rappelle-toi Barbara 
N'oublie pas 
Cette pluie sage et heureuse 
Sur ton visage heureux 
Sur cette ville heureuse 
Cette pluie sur la mer 
Sur l'arsenal 
Sur le bateau d'Ouessant 
Oh Barbara 
Quelle connerie la guerre 
Qu'es-tu devenue maintenant 
Sous cette pluie de fer 
De feu d'acier de sang 
Et celui qui te serrait dans ses bras 
Amoureusement 
Est-il mort disparu ou bien encore vivant 
Oh Barbara 
Il pleut sans cesse sur Brest 
Comme il pleuvait avant 
Mais ce n'est plus pareil et tout est abimé 
C'est une pluie de deuil terrible et désolée 
Ce n'est même plus l'orage 
De fer d'acier de sang 
Tout simplement des nuages 
Qui crèvent comme des chiens 
Des chiens qui disparaissent 
Au fil de l'eau sur Brest 
Et vont pourrir au loin 
Au loin très loin de Brest 
Dont il ne reste rien.  
Quelques Citations de Prévert
Dans chaque église, il y a toujours quelque chose qui cloche.
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Notre Père qui êtes aux cieux
Restez-y
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Fort heureusement, chaque réussite est l'échec d'autre chose.
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Il n'y a pas de problème, il n'y a que des professeurs.
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Le temps mène la vie dure à ceux qui veulent le tuer.
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La vie est une cerise
La mort est un noyau
L'amour un cerisier.
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Mangez sur l'herbe
Dépêchez-vous
Un jour ou l'autre
L'herbe mangera sur vous.
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Dimanche 2 avril 7 02 /04 /Avr 23:46

 Il y a des jours avec et il y a des jours sans. Les derniers jours étaient des jours sans. De ces jours ou la vie s'acharne à vous montrer, que quoi qu'on fasse, un jour elle reprend les reines, pour quelques temps. De ces jours, ou alors qu'on avance à pas de loup, elle vous invite, par des méthodes odieuses, à vous scouer, pour avancer plus vite et sur des chemins que vous n'avez pas choisi. Je vous ai abandonné durant quelques jours, mais me voilà remise d'émotions sombres et dures. Par diverses décisions, je revois la lumière, des chemins à prendre pour sortir de l'enfer. Le soleil brillera pour les jours à venir, parce que rien ici bas ne peut me faire faillir. Comment allez vous? amis blogonautes. Moi je vais bien et vous fait à tous un immense sourire.

Un bouquet qui me fut offert par un ami. N'est-il pas magnifique?

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Dimanche 26 mars 7 26 /03 /Mars 07:19

 

                                                     Les dimanches de Prévert

   Le Discours sur la paix

  

 

 Vers la fin d’un discours extrêmement  important

 le grand homme d’état trébuchant

 sur une belle phrase creuse

 tombe dedans

 et désemparé la bouche grande ouverte

 haletant

 montre les dents

 et la carie dentaire de ses pacifiques raisonnements

 met à vif le nerf de la guerre

 la délicate question de l’argent.

 

  

 Je suis comme je suis

  Je suis comme je suis
Je suis faite comme ça
Quand j'ai envie de rire
Oui je ris aux éclats
J'aime celui qui m'aime
Est-ce ma faute à moi
Si ce n'est pas le même
Que j'aime à chaque fois
Je suis comme je suis
Je suis faite comme ça
Que voulez-vous de plus
Que voulez-vous de moi

 

 Je suis faite pour plaire
Et n'y puis rien changer
Mes talons sont trop hauts
Ma taille trop cambrée
Mes seins beaucoup trop durs
Et mes yeux trop cernés
Et puis après
Qu'est-ce que ça peut vous faire
Je suis comme je suis
Je plais à qui je plais
Qu'est-ce que ça peut vous faire
Ce qui m'est arrivé
Oui j'ai aimé quelqu'un
Oui quelqu'un m'a aimée
Comme les enfants qui s'aiment
Simplement savent aimer
Aimer aimer...
Pourquoi me questionner
Je suis là pour vous plaire
Et n'y puis rien changer
.
  

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Dimanche 26 mars 7 26 /03 /Mars 06:17

Je voudrais saluer notre Ligérienne, pour son article pas besoin d'être au lit. http://amoursbruxelloises.over-blog.org/article-2234651.html

Elle l'a écrit d'une traite, me dit-elle dans un commentaire. Et c'est pour ça qu'elle mérite d'être saluée. Parce qu'elle est de ses femmes vrai, qui ne s'encombrent pas d'idées préconçues, envahissantes et limitatrices. Parce que son goût naturel pour les choses simples et un exemple pour tout les coincés de tout sexe (comme le soulève Julien dans un autre commentaire).

J'ai entendu cent fois des gens dirent qu'une femme grossière est du même coup vulgaire. La grossiéreté est l'utilisation de mots qui, qu'on le veuille ou non, existent. Maintenant que quelqu'un m'explique en quoi ces mots devraient être réservé aux hommes. La vulgarité c'est tout autre chose. Elle peut se croiser sur des vétement, dans des attitudes, mais elle est toujours ressenti par une image qu'on a sous les yeux, ou qu'on nous envoi à l'esprit. La grossiéreté elle, peut être passagére, spontanée, mode d'expression, on s'en fou, elle n'enlèvera jamais à la qualité d'une personne. Ainsi, Ligérienne utilise des mots grossiers pour exprimer quelque chose qu'elle exprime d'habitude dans une grande sensualité, parfois avec beaucoup de douceur, parfois avec beaucoup de force. Mais l'utilisation de la grossiéreté pour s'exprimer, n'est que le refflet des multiples facettes de ses envies ou de ces ressentis. Les mots doivent donner le droit de changer, de réver, de vivre même avec nos opposés. Comme l'acteur entre dans des personnages différents, les mots nous ouvrent les portes de version différentes de nos talents d'écrivain. Je suis heureuse de lire cette poésie, pour confirmer l'entiére condition de femme que l'on nous a si longtemps refusé. Celui d'être changeante forte est belle à la fois. Merci Ligérienne pour ta liberté et ton authenticité.

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Vendredi 24 mars 5 24 /03 /Mars 23:37

Pour ne pas vous laisser sur une note trop sombre, quand à mon dernier article, il faut que je vous parle de celle qui met un grand soleil dans ma vie et qui est touours là pour chasser la déprime et le négatif.

Ma fille Gaëtane

Je passerai sur les caractéristiques prodigieuses qui font d'elle une enfant géniale, comme sa grande beauté, son esprit libre et affuté, son humanité et sa compréhension personnel du monde, puisque de toute façon, vous me direz que nous ne sommes pas objectifs lorsque nous sommes parents. (et vous aurez surement un peu raison). Non,  je vais plutôt vous parler de ces aspirations et de ses délires. Donc, elle a 14 ans, 15 ans fin juillet, et va rentrer en seconde l'année prochaine. Elle a des notes plus que convenables, avec un 15 de moyenne générale. C'est important de le dire parce qu'elle va surement lire cet article, et avec toute l'énergie qu'elle met dans son travail scolaire, j'y vois une sorte de reconnaissance. Je pense qu'elle s'en cogne mais bon! Elle ne lira pas le reste de mon blog, car nous avons l'une pour l'autre un grand respect de nos intimités respectives. Elle a choisit de préparer un BAC L Histoire de l'art et voudrait se spécialiser dans la métaulerie en temps qu'archéologue. Je crois que d'aussi loin que je me souvienne, elle a toujours voulu être archéologue. Surement un vieux reste d'indiana jones ou un truc du genre. Et puis la littérature l'interresse beaucoup. Bien qu'elle ne lise pas énormément, elle a des livres clefs, qui l'accompagnent dans sa vie. Comme Paroles de Prévert ou Aliosha d'Henry Troyat. Pour sortir maintenant de sa présentation, je vais vous parler de son humour. Parce que c'est vraiment quelque chose. Elle joue de la dérision, comme d'autre à son age joue à la game boy. Un petit exemple? Ok.

Nous étions un jour dans un bureau de tabac, et alors qu'elle allait toucher à un objet quelconque sur le comptoir, je lui dis d'un ton assez sec, pas touche. Le ton sec, c'est parce que c'est ma nature, mais pour ceux qui me connaissent, ce n'est qu'une façon spontanée de m'exprimer parfois, sans aucune mechanceté. Bref, le buraliste me regarde un peu surpris par mon ton alors j'ajoute, sinon je t'en met une (pure provocation à l'air jugeur de l'homme). Le buraliste tourne les yeux vers ma fille, et là, elle lui dit avec un air triste : vous savez moi, j'ai l'habitude. Nous quittons le magasin et nous esclafons de rire une fois passé la porte. On est méchante hein? mais qu'est ce qu'on rigole. Elle a tout les jours de nouvelles histoires fandards, surtout sur les blondes. Ne bondissez pas les filles, elle est blonde et ne joue là que d'autodérision. Elle a aussi un humour trés noir. La dernière blague noire qui l'a fait mourrir de rire :

Une petite fille de 8, 9 ans et sur une route de montagne que borde un grand précipice. Et l'enfant pleure, mais pleure à chaudes larmes. Un homme d'une quarantaine d'années, en panne un peu plus loin, s'approche d'elle et lui demande ce qui ne va pas. Mais elle ne répond pas et pleure de plus belle. L'homme insiste puis s'agasse et montant un peu le ton lui redemande de s'expliquer. Alors elle lui montre le ravin d'un doigt. Une quinzaine de mètres plus bas, une voiture en miette et deux corps y sont fracassés. Se sont tes parents dit l'homme? L'enfant fait oui de la tête. Alors il dégraffe son pantalon et dit : ben dit donc, c'est vraiment pas ton jour de chance.

Allez un peu d'humour que diable. Voilà ma fille dans la finesse ou non, a toujours à bon mot pour me faire rire, ou une situation à rendre ridicule, et nous rions et rions chaque jour. Donc les cafards passent vite et la vie reste belle. Je pourrait vous en dire plein sur elle, mais il me faudrait un blog complet pour vous dire à qu'elle point elle me rempli de fierté et de joie. Gros bisous ma chérie, je t'aime.

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Mercredi 22 mars 3 22 /03 /Mars 06:52

Caresse moi caresse moi, j'ai le ventre gonflé de larmes, ce soir la vie me rétame, caresse moi caresse moi. Caresse moi caresse moi, ne laisse pas ce jour vieillir, sans poser avant qu'il n'expire, tes mains sur moi caresse moi. C'est un dimanche comme tant d'autre, qui déjà me vide le coeur, une petite bête noir se vautre impunément sur mes humeurs. J'ai la déprime à fleur de peau et l'automne dans mes entrailles. Pas une bière placébo ne peut soigner se qui m'entaille. Et toujours la marche funèbre, de cette semaine qui crève, à cette détresse une trève, poser ma bouche sur tes lèvres. Caresse moi caresse moi, j'ai le ventre gonflé de larmes, ce soir la vie me rétame, caresse moi caresse moi. Caresse moi caresse moi, ne laisse pas ce jour vieillir, sans poser avant qu'il n'expire, tes mains sur moi caresse moi.

Ces paroles, sont tirées de l'album de Mr Jamait. C'est sur cette chanson, qu'un soir de cafard, j'ai inventé l'amour, qui depuis hante mon esprit et me fais fuir tout ce qui n'est pas rève. Je voyais des bras, m'étreindrent et me presser. Cherchant à envelopper tout mon corp en un geste. Des mains qui se perdaient dans mes cheveux et passaient sur mon cou tendu et offert. Un nez venait se perdre au creu de mes épaules et humait, s'ennivrait de mon odeur suave à ses sens. Des baisers doux couvraient mon dos, accompagnés de mordillements illustrant un désir de mordre, de posseder, de croquer dans ma chair. Puis se glissant devant moi, l'amour m'enlaçait à nouveau. Un visage dans mon cou, se frottait, se perdait. Des mains se posent sur mon visage, ne laissant que ma bouche où une bouche se pose. Un baiser de tendresse, sensuel et lent, me pénétrait le coeur d'un bonheur sans limite. Après ce long baiser, un je t'aime se glisse jusqu'à mon oreille, accompagné d'un autre et d'un autre et d'un autre. Debout sur mes genoux, je sens une tête venir se déposer contre mes seins. Des bras entourent ma taille et descend sous mes fesses, puis me soulevant m'amène jusqu'à un sexe. Une bouche baise mes seins, et mon torse gonflé, et le sexe tendu vient me pénétrer. Plus que du plaisir, c'est une joie éfreinée qui envahit mon âme et mon corps tout entier. Des dents se ferment maintenant sur mes mamelons pointés et des bras serrent mon corps comme pour m'emprisonner, dailleurs c'est ce qu'il fait c'est amour à réver. Il est monté si haut que rien n'peut l'égaler.

A l'amour que j'attend autant que je le fuis, je voulais faire crédit d'un bout de mes pensées. Qu'il trouve le chemin de ma délivrance, pour voir des matins afin remplit de sens. Je pleure, je ris, je rève, mais je ne vis pas. Je voudrais que ce rève, enfin réel soit.

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Samedi 18 mars 6 18 /03 /Mars 02:19

 

Si l’amour est une fleur

 Il ne faut pas qu’elle fane

 Cette denrée précieuse

 Est une amie des femmes.

 Je ne sais pas vivre

 Sans elle sans son odeur

 Sans sa force tranquille

 Qui prend place en mon cœur.

 Je veux encore pouvoir

 Frissonner et sourire

 Face à son savoir

 Prise dans son empire

 Accompagner doucement

 Les mouvements du désir

 D’un corps sur le mien

 Qui me prend et m’attire

 Dans son monde indécent

 Au royaume du plaisir

 

 

 

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Vendredi 17 mars 5 17 /03 /Mars 17:27

Il est 16h passé, JL descend du bus. Après quelques raté dans l'organisation de cette arrivée, nous nous voyons enfin. Le visage sympatique et souriant je le vois s'avancer. J'étais pleine d'espoir. Le monde dans lequel je vis et vide d'interêt. Les gens que j'y croise_sans généraliser ni cracher sur les valentinois_sont loin de moi. JL avait pour lui, une grande humanité, un esprit libre et franc et beaucoup d'humour (synthèse de mes ressentis quand à son blog). Il y avait peut-être dans son idée de notre entrevue, une recherche bien particulière en rapport avec son gout des femmes et sa liberté de les vivres, mais il avait lancé l'idée d'une rencontre par des échanges concernant un sujet purement social et je jouais là de ma crédulité légendaire et ignorait volontairement tout caractères hérotiques possible. J'étais donc bien préparé à ne chercher chez lui aucuns générateur de phéromones et même à les refuser pour profiter pleinement de son esprit et de l'enrichissement qu'il m'offrirait. Et ça n'a pas raté. Que se soit par le témoignage de partie de sa vie, par la découverte de combats qu'il menait actuellement, ou par l'intérêt qu'il portait à mes paroles, ce fut un vrai bonheur. Nous avons échangé moulte de nos idées, tantôt professionnelle, tantôt social, tantôt hérotique. il me réconcilliait doucement avec le monde et je me sentais lentement sortir de mes façades pour atteindre le naturel que rarement j'atteinds. Je n'irais pas jusqu'à dire que j'ai des remords, mais je dois bien avouer et le resultat me conforte dans cette idée, que j'ai fait preuve d'un grand égoïsme et espère de tout coeur lui avoir rendu un peu  de ces  cadeaux. Ainsi je le remercie de  sa générosité, et  escompte à ce jour pouvoir le voir encore.

Par vernnone - Publié dans : vernnone
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