Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 02:08

Aux hommes qui croisent nos vies, et qui nous marquent en bien ou en mal, je souhaiterais dédier cette histoire. Il est souvent délicat de trier lorsqu'une personne réussit à vous faire dans le même temps, beaucoup de bien et beaucoup de mal. DWL, homme charmant d'une trentaine d'année, c'est posé sur ma vie comme un papillon de 800 Kg. Notre "histoire" débuta dans un bar, où lui et moi nous croisions de temps en temps. L'endroit était presque désert, et alors que je bavardais au comptoir avec le patron, il vint nous rejoindre dans la conversation. Au fil de la discution, il exerçait sur moi une drague discrete et subtile. Le bar se rempli un peu donnant plus d'activité au patron et nous poursuivons notre conversation. J'avoue que j'étais complètement sous le charme. Il ne sagissait pas là que de mon célibat de deux ans sans un homme et de l'appel de mes hormônes devant tant de promesses, encore que... Bref, peut importe le motif, j'étais conquise. Il faut dire qu'en plus d'un physique plutôt aventageux, il y avait dans nos vies et nos caractères respectifs, beaucoup de points communs. Au sixième whisky, je dis au revoir au bellâtre (parce que c'est ce qu'il est), et je me dirige vers la sortie. Il me rattrape et propose de me racompagner, puisque habitant assez près, j'étais venue à pied. L'heure et le "grammage", m'avaient poussé vers la sortie mais j'espèrais ce geste de ça part. Prolonger un peu la magie de ce moment ou je me sentais belle et attirante au travers de ces yeux. Nous nous asseyons quelques instant à sa demande, sur le banc d'un petit parc, et commençons à nous embrasser. Il avait jusque là rythmé le déroulement de la soirée, mais le désire montait en moi, et je le lui transmettait bientôt, par des ebrassades douces et sensuelles mais un tentinet gourmandes. Il m'attira sur ces genoux, au lieu de me laisser glisser, je me levai et l'enfourchait littéralement, lui offrant ainsi ma poitrine qu'il avait à moitié découverte et un contact habillé mais brulant de nos deux sexes. Ces mains se plaquaient sur mon dos et mes hanches et une fougue délicieuse s'emparait de lui. Je sentais sous moi son membre dressé, et devinait par ces mouvement que l'érection qui manquait d'espace devenait douloureuse. En moi naissait une exitation de plus en plus intense, rejetant ma tête en arriere et accentuant le mouvement de mes reins, je ne désirais plus qu'une chose, qu'il me pénetre là, maintenant sans le moindre atouchement supplémentaire. Une pénétration puissante et profonde. Il plannait un mélange de voracité et sensibilité sur nos échanges. Un abandon de la réalité qui prit bientôt fin. Whaou pronnonça t-il entre deux baisers. Il faut que l'on se calme, je ne peux pas rester plus longtemps, je dois ramener des amis qui doivent déjà m'attendre. A ces mots, je redescendais en deux seconde de mon état proche de l'explosion et le liberais en me rassayant à coté de lui. Je vais leur donner mes clefs et je reviens te voir dans 1 minute tu veux bien? Et là! Sans la moindre logique je lui dis non. Ramène tes amis, je sais qu'ils comptent sur toi pour aller en boite. Ce n'est pas grave, nous nous verrons demain ou dès que tu peux. De toute façon, j'ai un tel désir de toi, il ne va pas s'éteindre en un jour. Je ne comprends toujours pas pourquoi jai dit ça. Biensûr que je voulais qu'il leur donne ses clefs et qu'il revienne me faire l'amour. Je le voulais plus que tout autre chose. Il m'a avoué plus tard, qu'il savait que j'étais une célibataire endurci, et qu'il avait cru deviner ce soir là, que je ralentissais les événements par peur de lui et de l'aventure qui allait en découler. Il me proposa de m'accompagner jusqu'à chez moi, sans halte cette fois, et m'embrassa tendrement d'un baiser qui aujourd'hui encore fait danser mon esprit au dessus de mon corps. Le lendemain, par un texto et quelques plates excuses il m'expliqua qu'il ne pouvait passer au bar. Le surlendemain c'est moi qui était occupée avec une amie de ma fille à la maison. Quand je le revis au troisième jour, il était grippé. Vraiment malade. Il resta avec moi une petite heure au bar et rentra chez lui dormir. Le pauvre n'en pouvait plus. Je faisais de même, mais la frustration au ventre. J'avais tellement envie de lui. Il y avait eu une telle symbiose dans nos gestes et la réceptivité de l'un comme de l'autre, que je ne réussissais pas à penser à autre chose. Je devais ensuite passer le week-end chez mon frère jusqu'au lundi soir. Je lui donnais rendez-vous et il me présisa bien qu'il serait là contre vent et marée. Il m'avait glissé qu'il avait du mal à penser à autre chose. Qu'il me désirait comme il n'avait pas désiré une femme depuis longtemps et qu'il attendrait mon retour avec impatience. Bien sur le lundi j'étais là. et lui aussi. Nous étions au bar, puisque nous nous y étions retrouvé, il nous fallait consommer. Pas de paroles, que des regards, nous étions déjà dans la magie. Il était calme et souriant. J'étais sereine et patiente. Comme lorsqu'on a gagné un concourt et qu'on attend sa récompense. Ces minutes avaient quelque chose de superbe. Prochain épisode, Comme un phantasme.

Par vernnone - Publié dans : vernnone
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