vernnone

Vendredi 17 mars 5 17 /03 /Mars 03:39

Me Voilà star du X (y vont me payer pour ça? lol). Ils ont imposé un avertissement afin de réservé l'entrée de mon blog aux plus de dix huit ans (mais vous êtes là donc vous êtes au courant). J'aurai jamais du mettre le mot pubis dans mon dernier article MDR. Et moi qui me voulais pédagogue aux près de nos cheres têtes blondes en espérant sauvé l'avenir du sexe et de la liberté necessaire pour l'apprécier (non là je plaisante). Loin de moi l'idée de critiquer la démarche. Mais si mon blog apparait désormais dans la catégorie adulte, j'ai bien peur que ça ne les attirent que plus. Ils ont pensé à ça? Même si je trouve normal qu'ils aient fait ça, il plane une absurdité de l'interdit qui appelle à être transgressé. Alors à partir de maintenant

vous allez me présenter vos cartes d'identités.

Allez et que ça saute. Remarque star du X ça fait bien sur un CV non? Et puis maintenant je vais pouvoir me lacher. ah c'est déjà fait? Bon tant pis.

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Jeudi 16 mars 4 16 /03 /Mars 07:26

Suite de Rencontre avec le désir

Le tableau : Clic clac ouvert, une lampe de chevet allumée dans la pièce voisine, The Wall en DVD, une bouteille de Jack daniels et deux verres sur la table de salon.

Sur le trajet du café à mon appartement, un calme et une assurance accompagnent notre marche. La légéreté de deux êtres qui savent leur désir et attendent patiemment leur heure. Nous sommes dans mon salon. Il s'assied sur le bord du clic clac et me regarde allumer DVD et télé, attraper mes cigarettes et mon briquet dans mon sac, les poser sur la table. Son regard suit chacun de mes mouvements. Lorsque j'empoigne la bouteille, il se lève, pose sa main sur mon bras, retire la bouteille de ma main et la pose sur la table. Puis il m'attire contre lui et se plonge dans mes yeux. Sa bouche s'avance jusqu'à la mienne. Ses baisers, qui se posent puis s'enfonçent sur ma bouche, ont un gout de délivrance. Ses mains se posent sur moi se déplaçent tout le temps comme pour venir palper un corps qu'elles ont révé palper pendant des heures. Me voilà envahit de sa fière de sa fougue. Sans question ni résistance, j'adhére à ses actes. Comme un rève, un fantasme, nous rentrons doucement mais énergiquement dans une autre dimension. Nous voilà nus. Il plante ses mains sur ma taille, se réassied sur le clic clac et me maintien là, debout devant lui et m'observe. Quand ses bras m'entourent et me rapprochent de lui. Son visage se plante contre mon ventre et je sens ses narines reniffler ma peau. Levant les yeux pour retrouver les miens, il frole dans un long mouvement, ma poitrine et mon ventre, mon pubis et mes hanches puis recommence son ronde. Je tressaille déjà, désirant que ces mains mobiles et légéres, s'allourdissent et se plantent en moi tellement je le désire. Ses yeux qui sourient, s'assombrissent soudain, sa tête de gauche à droite me dessine un non, il m'attire à lui et joignant nos deux sexes. Je te veux maintenant, je te désire trop. Ces mots à mon oreilles ajoutent des étincelles brulantes qui parcourent mon corps. Comme un nuage, un spasme, Le plaisir  m'accable, ne me laissant aucune liberté, aucune volonté. Ses bras passent sous les miens et attrapent mes épaules. Nos bouches s'embrassent dans une tendresse immense, pendant que, à la limite de la violence et par à-coup trés espacés, il vient se perdre au fin fond de moi. Dans mes yeux des larmes coulent. Ne pouvant dire un mot, elles étaient comme un cri. Rendez moi mon corps. Il me bascule sur le clic clac, se pose sur moi. Alors vint l'abandon. Il est une symphonie. Ses mains, sa bouche, ses hanches, son sexe, sont autant d'instruments qui jouent pour moi un chant de sirène. Hypnotisée, perdue, je l'écoute m'envahir et le plaisir qui monte et monte et monte encore, m'amène jusqu'à l'orgasme dans un cri qui m'échappe. Avec un large sourire, il me fixe heureux. son chant devient une danse, lente et délicieuse, il me fait l'amour dans avec une grande douceur, il est calme et tranquille.

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Lundi 6 mars 1 06 /03 /Mars 03:34

Elle est jolie la petite marchande de bonbons. Elle sourit aux passants, elle sourit aux clients. Elle se penche doucement pour regarder l'enfant qui accompagne son père. Laissant voir sans tourment,et sans prendre de gant sa poitrine légére. Faut dire qu'elle est docile et qu'elle est généreuse. Elle se frotte agile, les frole de sa main creuse. Et dans la remise, elle soulève sa chemise. Je suis gourmande dit-elle nonchalament à ceux qui l'a regarde d'un sourire charmant. Je croque et je grignotte chaque fois que je peux. Et quand sa jupe flotte elle fait des heureux. Parfois dans la remise, débarrassée de sa chemise elle carresse les bas ventres. Et les hommes conquient, limite asservient de ces doigts ne déchantent. Avec sa jolie bouche, dans des mouvements farouches elle prend pour sucette, ces hommes qui l'a touchent, lui embrassent sa frimousse à l'odeur de violette. Quand ces yeux sur le mur, elle reçoit en nature les hommes empressés. C'est la croupe tendue, des mains sur ses reins nus et une joie enflammée. Elle aime à se mouvoir, pour mieux recevoir et pour mieux donner, le plaisir d'avoir, dedans cet isoloir les sens tout bouleversés. Alors elle sourit et qu'est ce qu'elle est jolie dans sa jupe froissée.

 

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Vendredi 3 mars 5 03 /03 /Mars 04:53

Solitude mon amour

Je te suis infidèle 

 

Dans le voyage des jours 

Je te renie, cruelle 

Pour eux et leur velours 

Leurs doux mots de miel 

Je t’efface sans détour 

Pour un bout de leur ciel

Tu fusses mon alliée 

Ma sœur mon amie 

Tu m’as donné les clefs

Des portes de la vie

Patiente et dévouée

A tes dons à tes cris

Je me suis avouée

Et tu m’as tant appris 

Aujourd’hui ils sont là

Et j’aime à leurs confier

Mes roses et mon lilas

Mon cœur et mon passé

Généreux dans l’émoi

Je ne peux m’en passer

A eux et loin de toi

Je veux m’abandonner

Bloggeurs et bloggeuses

Soyez les bienvenus

Vos lignes me sont précieuses

Je m’offre à votre vue

Et je rêve ambitieuse

Que l’on ne se quittera plus

Vous me rendez radieuse

D’un bonheur absolu

 

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Mercredi 1 mars 3 01 /03 /Mars 05:57

J'en peux plus de cette psychose générale autour de cette grippe. En quelques jours on dirait qu'on a oublié que des milliers de gens meurent chaque année du SIDA, s'il vous plait réveillez vous brave gens. Si les épidémie vous interresse y en a des tout à fait inquiètante qui assassinent. Et puis, y faut presque aller lui lecher le derriere au poulet pour l'attraper sa grippe alors reprenez vous. Je suis révoltée par l'indifférence, mais quand elle est aussi flagrante. ohhhh ça me donne envie de meurtre. Vous pourrez pas aller manger chez grand-mère dimanche, si vous l'attrapez. J'en suis tellement désolée pour vous. Lachez nous avec votre grippe, y a des cultivateurs qui vont crever de faim avec vos conneries. Et moi je sais ce que c'est que la faim, mon chien en est mort l'année dernière loooollll.

Première victime de la grippe aviaire à paris. C'est sûre, ça fait désordre.

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Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 02:08

Aux hommes qui croisent nos vies, et qui nous marquent en bien ou en mal, je souhaiterais dédier cette histoire. Il est souvent délicat de trier lorsqu'une personne réussit à vous faire dans le même temps, beaucoup de bien et beaucoup de mal. DWL, homme charmant d'une trentaine d'année, c'est posé sur ma vie comme un papillon de 800 Kg. Notre "histoire" débuta dans un bar, où lui et moi nous croisions de temps en temps. L'endroit était presque désert, et alors que je bavardais au comptoir avec le patron, il vint nous rejoindre dans la conversation. Au fil de la discution, il exerçait sur moi une drague discrete et subtile. Le bar se rempli un peu donnant plus d'activité au patron et nous poursuivons notre conversation. J'avoue que j'étais complètement sous le charme. Il ne sagissait pas là que de mon célibat de deux ans sans un homme et de l'appel de mes hormônes devant tant de promesses, encore que... Bref, peut importe le motif, j'étais conquise. Il faut dire qu'en plus d'un physique plutôt aventageux, il y avait dans nos vies et nos caractères respectifs, beaucoup de points communs. Au sixième whisky, je dis au revoir au bellâtre (parce que c'est ce qu'il est), et je me dirige vers la sortie. Il me rattrape et propose de me racompagner, puisque habitant assez près, j'étais venue à pied. L'heure et le "grammage", m'avaient poussé vers la sortie mais j'espèrais ce geste de ça part. Prolonger un peu la magie de ce moment ou je me sentais belle et attirante au travers de ces yeux. Nous nous asseyons quelques instant à sa demande, sur le banc d'un petit parc, et commençons à nous embrasser. Il avait jusque là rythmé le déroulement de la soirée, mais le désire montait en moi, et je le lui transmettait bientôt, par des ebrassades douces et sensuelles mais un tentinet gourmandes. Il m'attira sur ces genoux, au lieu de me laisser glisser, je me levai et l'enfourchait littéralement, lui offrant ainsi ma poitrine qu'il avait à moitié découverte et un contact habillé mais brulant de nos deux sexes. Ces mains se plaquaient sur mon dos et mes hanches et une fougue délicieuse s'emparait de lui. Je sentais sous moi son membre dressé, et devinait par ces mouvement que l'érection qui manquait d'espace devenait douloureuse. En moi naissait une exitation de plus en plus intense, rejetant ma tête en arriere et accentuant le mouvement de mes reins, je ne désirais plus qu'une chose, qu'il me pénetre là, maintenant sans le moindre atouchement supplémentaire. Une pénétration puissante et profonde. Il plannait un mélange de voracité et sensibilité sur nos échanges. Un abandon de la réalité qui prit bientôt fin. Whaou pronnonça t-il entre deux baisers. Il faut que l'on se calme, je ne peux pas rester plus longtemps, je dois ramener des amis qui doivent déjà m'attendre. A ces mots, je redescendais en deux seconde de mon état proche de l'explosion et le liberais en me rassayant à coté de lui. Je vais leur donner mes clefs et je reviens te voir dans 1 minute tu veux bien? Et là! Sans la moindre logique je lui dis non. Ramène tes amis, je sais qu'ils comptent sur toi pour aller en boite. Ce n'est pas grave, nous nous verrons demain ou dès que tu peux. De toute façon, j'ai un tel désir de toi, il ne va pas s'éteindre en un jour. Je ne comprends toujours pas pourquoi jai dit ça. Biensûr que je voulais qu'il leur donne ses clefs et qu'il revienne me faire l'amour. Je le voulais plus que tout autre chose. Il m'a avoué plus tard, qu'il savait que j'étais une célibataire endurci, et qu'il avait cru deviner ce soir là, que je ralentissais les événements par peur de lui et de l'aventure qui allait en découler. Il me proposa de m'accompagner jusqu'à chez moi, sans halte cette fois, et m'embrassa tendrement d'un baiser qui aujourd'hui encore fait danser mon esprit au dessus de mon corps. Le lendemain, par un texto et quelques plates excuses il m'expliqua qu'il ne pouvait passer au bar. Le surlendemain c'est moi qui était occupée avec une amie de ma fille à la maison. Quand je le revis au troisième jour, il était grippé. Vraiment malade. Il resta avec moi une petite heure au bar et rentra chez lui dormir. Le pauvre n'en pouvait plus. Je faisais de même, mais la frustration au ventre. J'avais tellement envie de lui. Il y avait eu une telle symbiose dans nos gestes et la réceptivité de l'un comme de l'autre, que je ne réussissais pas à penser à autre chose. Je devais ensuite passer le week-end chez mon frère jusqu'au lundi soir. Je lui donnais rendez-vous et il me présisa bien qu'il serait là contre vent et marée. Il m'avait glissé qu'il avait du mal à penser à autre chose. Qu'il me désirait comme il n'avait pas désiré une femme depuis longtemps et qu'il attendrait mon retour avec impatience. Bien sur le lundi j'étais là. et lui aussi. Nous étions au bar, puisque nous nous y étions retrouvé, il nous fallait consommer. Pas de paroles, que des regards, nous étions déjà dans la magie. Il était calme et souriant. J'étais sereine et patiente. Comme lorsqu'on a gagné un concourt et qu'on attend sa récompense. Ces minutes avaient quelque chose de superbe. Prochain épisode, Comme un phantasme.

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Mercredi 22 février 3 22 /02 /Fév 14:57

Je suis rentrée de Besançon hier apres midi  en train . Le train était vide ou presque, et je m'installe sur une des quatres places centrales au wagon. Je m'y sens moins enfermée que dans l'espace réduit des autres sieges allant par deux. Un peu fatiguée, je m'installe confortablement mon blouson en oreillé contre la vitre et entame mon voyage les yeux submergés par le paysage défilant. Un jeune homme d'environ 25 ans, long et fin aux yeux noirs, pose son joli derriere sur le siege en face de moi apres m'en avoir fait profiter de pres en enfilant son sac dans le porte bagage au dessus de nos têtes. Une fois assis, son regard croise le mien et là, il bloque. Un petit air perdu entre l'étonnement et le doute s'affiche sur son visage. il se détourne et regarde au dehors. Pendant les minutes qui suivirent, je sentais qu'il m'observait furtivement du coin de l'oeil. Surement une technique de drague, pensais-je. Il me demandera bientôt si on s'est déjà rencontré quelque part. Ma foi, il était mignon, alors en toute impunité et espérant lui donner du courage, j'esquisse un sourire en le fixant. Sa tête s'est alors baissé, mais pas suffisament pour que je ne vois pas le rose montant de ses joues. Comprenant la timidité du personnage, je décide de le laisser tranquille et de poursuivre ma sieste. Au passage du contrôleur, je m'éveille et retrouve le visage d'ange tentant de sourire maladroitement dans ma direction. Il avait du rassembler tout son courage pendant que je me reposais, car il ne risqua pas de me voir m'assoupir à nouveau. Il s'approche de moi et me dit. Je vous est croisé tout à l'heure dans la gare. Le rouge au joue il poursuit. Lorsque je vous ai vu, Je me suis dit : rève pas mon gars, on est à lyon, y a deux cent personnes de cette gare, et des dizaines de trains qui partent par heure, c'est impensable qu'elle puisse prendre le même que moi. Mais c'est dommage car elle est ... Jétais sidérée par l'effort que venait de fournir le minaud. Il begueillait presque, devait avoir des sueures froides , et pourtant les mots étaient si bien choisi. Il reprend et dit : Je suis désolé de vous interpeler de la sorte mais, vous êtes là devant moi, et c'est tellement innespéré que je ne peux m'empécher de profiter de cette chance. Je trouvais vraiment qu'il était de plus en plus sympathique. Nous partons donc dans une conversation banale mais néanmoins truffée de bons mots et de plaisanteries subtiles. Puisqu'il allait jusqu'à Marseille et que pour moi, le voyage touchait à sa fin, il me proposa de me laisser son numéro, mais avant que j'ai eu le temps d'accepter, une jeune fille, 18-20 ans, l'air furieux, se plante dans l'allée et le foudroie du regard. Alors, c'est comme ça que tu nous cherches? Tu t'emmerdes pas, ça fait une plombe que je m'inquiète de savoir si tu as bien eu le train. Et ton portable et coupé. Et je te trouve là, en train de draguer, et une vieille en plus. Je ne tins pas compte de cette dernière phrase, la situation ayant déjà tellement de visage. La fille en colère, le garçon désinterressé. Elle surement malheureuse et piquée au vif. Lui ne levant ces yeux de sur moi que pour lui accorder un interêt trés court, les lèvres pincées pour ne pas partit dans l'hilarité. Je n'allais pas y inclure la vexation de la gamine et la déception de l'ydille perdue. De plus en plus perplexe, j'entends miss venin dire : viens maintenant, j'ai laissé les gamins avec une dame pour traverser le train. Avant de se lever, Alban, c'est ainsi qu'il s'était présenté, pris ma main, y glissa un morceau de papier, y posa un baiser et dit : pardonnez ma soeur, elle est avec mes frères et moi comme une louve avec ses petits. A bientôt j'espère. Et ils s'éloignèrent, elle grommelant et lui maladroit en tentant de jeter un coup d'oeil en arriere alors qu'elle le poussait violemment. La suite de l'aventure prochainement si je décide de le rappeler, enfin si vous souhaitez la lire. 

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Jeudi 16 février 4 16 /02 /Fév 04:34

Avec mon frère Ben, nous chantons ensemble du Brassens on en connaît plein. Ou ces gens là de Brel. Lui il joue de la gratte en plus et il est pas mauvais du tout. On ne se prend pas au sérieux, mais on fait pour que se soit écoutable, et ça l’est. Mon frère est un mec génial. Et c’est très objectif. Ensemble on boit, on fume, on parle, on refait le monde, on se comprend. Pour la petite histoire qui a durée 33 ans, c’est mon père qui nous a filé la fibre de la zic et du chant. Lui aussi était un homme formidable comme on en voit peu. Humaniste, communiste, érudit, on lui doit une grande partie de ce que l’on est. Il est mort le 29 avril dernier. Mort comme il a vécu, sans faire chier le monde, d’une crise cardiaque, il est parti en une seconde. Il avait encore sa roulé au bec et ses lunettes sur le nez. Je me souviens les fêtes de l’huma, les grandes soirée de musique. C’était un artiste peintre, bercé par Prévert, Picasso, Eluard, Aragon, et tellement d’autres. Il me semble important de vous en parler, pour que vous sachiez pourquoi, parfois, j’ai le cœur en miettes. Heureusement il y a  mon frère. Jamais une engueulade en 34 ans, vous le croyez ça ? Eh ben c’est vrai. On a tout fait ensemble, des jeux, du sport, des bringues, avec moi c’était un vrai sicilien  quand on était mômes. Il disait que les mecs allaient me pourrir l’esprit avec leur besoin d'écraser les femmes. Alors, lui et mon père m’emmenaient aux bistrots, et partout où ils allaient. Quelles années formidables.

Une toile de nanar, mon père. P’tain c’est grave comme tu me manques.

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Mercredi 15 février 3 15 /02 /Fév 19:13

Arlequin                                             
Arlequin poignardé
Sur les quais du vieux Londres
L'enquéte est mal conduite
Et Scotland Yard s'y perd
On a fouillé en vain la chambre
Addlestone Square
La dame de l'hôtel refuse de répondre
On recherche un vieux clown
Qui le soir du crime
Réparait sur les docks
Un cerceau en papier
Car en effet, lui seul pourrait
Nous révéler quelle était la chanson
Que chantait la victime

Interpol a lancé trois agents sur l'affaire
On a interrogé les amis du défunt
Polichinelle à Rome
Colombine à Berlin
Et Pierrot, Pierrot qui faisait
Du ski à Val d'Isère

Tous trois ont répondu
D'un air un peu bizarre
Car ils savent déjà
Que ce sera bientôt leur tour
Ils connaissent le nom du tueur de guitare
Mais pendant ce temps-là
L'assassin court toujours
L'assassin court encore
Il s'appelle "chacun"...

Chacun de nous, de vous
Aux treize coins du monde
Chacun a plus ou moins
Dans les brouillards de Londres
Un soir sans le savoir
Poignardé Arlequin...
                                   Reggiani

J'ADORE

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Mercredi 15 février 3 15 /02 /Fév 12:51

Séduire une femme, c'est à la portée du premier imbécile. Mais il faut aussi savoir rompre ; c'est à cela qu'on reconnaît un homme mûr.

La valse aux adieux. Kundera

                                                                       C'est idem pour les femmes

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